Journée finale consacrée à ramener et ranger le matériel à l’Université.
Le campus est en pleine activité... de réceptions de Noël. Des tentes sont dressées ... pour se protéger du soleil! Curieux de terminer l'année au soleil, mais nous sommes dans l'hémisphère sud et le Père Noël a trèèès chaud!
Nous déposons la Mahindra dans un garage pour la faire laver et la rendre présentable avant de la ramener au garage “Motormundo” qui nous l’a prêtée gracieusement pour toute l’expédition. Ce prêt aura été l'une des aides les plus précieuses sans laquelle l'expédition n'aurait pas pu être menée à son terme. Malchance, nous sommes tombés dans un garage pas très “pro” qui traîne toute l’après-midi. Nous devons finalement prêter main forte pour arriver à terminer dans les temps et ramener la voiture chez “Motormundo” avant la fermeture.
Nous filons alors en taxi jusqu’au campus de l’Université Cayetano Heredia à Miraflores, où nous avons convié les étudiants de biologie à une conférence donnée par Gisèle Hajdu et Fernanda Azevedo. Les embouteillages de Lima sont tels que nous arrivons juste à temps pour faire l’introduction et la présentation de l’expédition avant de donner la parole à nos collègues brésiliennes. Gisèle explique en détail l'application de la génétique moléculaire à la taxonomie des spongiaires et Fernanda illustre cet exposé en montrant comment elle a appliqué ces techniques aux éponges calcaires pour sa thèse de doctorat.
Introduction par Yuri...
... et Philippe, qui ne manquent pas de rappeler le contexte du projet ESPER.
Puis exposé de Gisèle...
... et de Fernanda.
Ouf, tout s'est bien passé et nous terminons la soirée en rassemblant les membres des deux expéditions au restaurant pour un repas final.... et Philippe, qui ne manquent pas de rappeler le contexte du projet ESPER.
Puis exposé de Gisèle...
... et de Fernanda.
Enfin, à présent sans voiture, Eduardo nous embarque tous dans sa “sponge-mobile” jusqu’à son hôtel à Miraflores, et de là nous rentrons en taxi à “La Molina”. L’expédition est officiellement terminée, mais il nous reste des mois de travail à préparer, décrire et identifier le matériel récolté.
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